marketing A----C
Emballage
Voir conditionnement.
Encart
publicitaire
Forme de communication diffusée par un
support (par exemple, un quotidien ou un magazine) sans faire partie de sa
pagination et qui ne concerne qu’une seule marque.
Enquête
Procédure plus ou moins formalisée de
recueil d’informations qui consiste à interroger les personnes supposés détenir
ces informations.
Enquête
face à face
Enquête (face à face) avec contact
physique entre enquêteur et enquête. Les résultats sont plus précis si
l’enquêteur est un professionnel. L’enquête peut être menée dans un lieu public
(si seulement quelques questions sont posées), à domicile, ou sur le lieu de
travail de l’enquête.
Enquête
omnibus Acting marketing
L’acting marketing regroupe l’ensemble
des méthodes utilisées sur internet pour accroître les ventes et la visibilité
des sites web. Le spamming en est l’une des méthodes les plus utilisées.
Adapteur
publicitaire
Professionnel dont la mission est
l’adaptation d’un message publicitaire à un autre média que le média initial ou
pour un autre pays Above-the-line
Action de communication publicitaire
réalisée dans les grands médias (télévision, radio, cinéma, affichage, presse),
par opposition aux investissements Below the line (marketing direct, relation
publiques, sponsoring, promotion, PLV). (R. VAN DICK 1990)
Achat
impulsif
Achat
non prémédité avant l’entrée du consommateur dans le point de vente.
Achat
industriel
Mécanisme de décision par lequel une
entreprise ou une organisation traduit ses besoins en produits et services et
sélectionne les différents fournisseurs.
Acheteur
média
(Media Buyer) : responsable de
l’achat de l’espace publicitaire auprès des régies des médias.
que
le pays d’origine. (R.VAN DICK, 1990)
Ad-hoc
(étude)
Etude réalisée sur mesure pour un
client spécifique. Voir aussi Souscription collective (étude en).
Affichage
Média publicitaire utilisant des
panneaux qui mesurent en général 20 m2. Les panneaux publicitaires
se trouvent essentiellement dans les zones urbaines. (R. VAN DICK, 1990)
Agence
de publicité
Entreprise dont l’activité est la
création, le pilotage de la réalisation et le suivi des campagnes de publicité,
d’image de marque, et plus généralement de toute forme de communication. (R.
VAN DICK, 1990)
Aguichage
- teasing
Campagne publicitaire en plusieurs
étapes, avec un suspense et une chute. Les étapes peuvent avoir lieu dans le
temps (J’enlève le haut en est l’exemple le plus fameux) ou dans l’espace
(trois pages de droite qui se succèdent dans un magazine, par exemple).
Aléatoire
(RANDOM) Au sens courant, aléatoire
signifie par hasard. En statistique, un événement est aléatoire lorsqu’il tombe
sous les lois du calcul des probabilités. En étude de marché, un sondage
aléatoire est un sondage qui a été réalisé sur base d’un échantillon de
personnes tirées au sort. Pour rappel, seul le sondage aléatoire peut faire
l’objet de calcul des probabilités statistiques. (MUCCHIELLI, 1975).
Analyse
de contenu
Méthode d’analyse, d’inventaire et de
dépouillement utilisée en recherche qualitative. La méthode vise à
l’objectivité des résultats et consiste à travailler sur les éléments
significatifs (qui ont du sens) d’une communication. (MUCCIELLI, 1975)
Analyse
de la valeur
Recherche systématique et méthodique
des solutions les plus économiques permettant d’adapter les fonctions des
produits aux attentes des consommateurs en examinant en détail tous les
composants susceptibles d’être modifiés. (DUBOIS et JOLIBERT, 1989)
Analyse
multivariée
Ensemble
de méthodes d’analyses descriptives statistiques utilisées en recherche marketing dont
l’objectif est de synthétiser l’information recueillie au départ d’u tableau de
données à lignes et colonnes multiples. Ces analyses sont parfois appelées de
données.
Analyse
sensorielle
Technique d’analyse portant sur les
caractéristiques organoleptiques d’un produit telles que le goût, la texture,
l’aspect. Chaque caractéristique est notée à travers une échelle à dix
positions, continue ou pas, permettant à chaque individu d’exprimer son
opinion.
Annonce
publicitaire
Message publicitaire. En général,
l’annonce est rythme par un titre (headline ou accroche), un visuel et la
signature ou base mine. (R. VAN DICK, 1990)
Annonceur
Tout organisme ou entreprise réalisant
des dépenses de communication. C’est aussi l’entreprise qui produit une
campagne de publicité. Les annonceurs sont les clients des agences de
publicité.
Apprentissage
Suite à ses expériences passés, un
consommateur modifié ses perceptions d’une marque, d’un produit ou d’un
service. L’apprentissage traduit ces modifications intervenues.
Assortiment
d’un linéaire
Articles choisis pour figurer sur un
linéaire dans un magasin en libre service. L’assortiment comprend le classement
en familles, le mode de présentation, le mode de rangement, et précise la
hauteur à laquelle le produit doit figurer, sa position et le facing (soit en
tête de gondole soit sur un linéaire).
Audience
Nombre de contactes apportés par un support
ou un média, ce nombre étant exprimé en chiffres absolus. Exprimée en % on
l’appelle alors « couverture » ou « pénétration ».
Audience
totale (ou globale)
Ensemble des personnes ayant été en
contact avec le support, média considéré au cours des derniers mois. (MEDIA
MARKETING, 1991)
Audience
utile
L’audience utile est la part de
personnes de l’audience appartenant à la cible de la campagne publicitaire. (R.
VAN DICK, 1990)
Audimat
Taux d’écoute des émissions de
télévision, c’est-à-dire nombre de personnes ayant vu l’émission sur le nombre
total des auditeurs possédant un téléviseur. Par conséquent, il s’agit de la
technique de sondage et le résultat afférent à la technique utilisée.
Audimètre
Outil
électronique de mesure automatique et permanente de l’audience YV. Utilisé pour
mesurer l’audience de s émissions ou des écrans publicitaires. L’audimètre
identifie de 15 secondes en 15 secondes, via un dispositif particulier le
téléspectateur au sein d’une famille. 1200 audimètres sont disponibles
actuellement. (MEDIA MARKETING, 1991)
Audimétrie
Etude réalisée par audimètre auprès
d’un échantillon d’individus. Ne mesure que l’audience et le profil
socio-démographique de l’individu (pas de données produits). On sait qui
regarde quoi. (MEDIA MARKETING, 1991)
Audit
marketing
Etude systématique, indépendante et
régulière de l’entreprise à travers l’analyse de son environnement, de ses
activités et de sa stratégie. L’objectif de l’audit marketing est de détecter
les problèmes et de recommander des actions qui améliorent l’efficacité
marketing de l’entreprise.
Auto-promotion
Annonce d’un support (par exemple, un
quotidien) au travers de ce même support en vue d’en promouvoir l’image ou une
action spéciale.
Awarenses
Voir Notoriété
B2B
Voir Business to business
B2C
Voir Business to consumer
Bandeau
Voir aussi banner
Banner
Espace publicitaire, la plupart du
temps de forme rectangulaire, placée sur une page d’un site web.
Baromètre
Etude longitudinale qui suit à travers
le temps des indicateurs sur des marchés, entreprises, marques et produits,
services, personnalités, groupes sociaux.
Réalisée continuellement dans les mêmes
conditions, même formulation des questions, etc.), elle permet des comparaisons
d’une période à l’autre.
Barter
ou Bartering
Accord de compensation, plus
particulièrement troc d’une parution publicitaire contre une marchandise livrée
par l’annonceur à l’agence de publicité. Le bartering est aussi la vente aux
chaînes de télévision de programmes TV complets, incluant émissions et sports.
Vente ou troc du concept de l’émission ou de sa réalisation par l’annonceur
lui-même contre un parrainage exclusif de cette émission. (Exemple : La
Roue de la Fortune)
Base
de données marketing
Ensemble
des données relatives aux clients et prospects d’une entreprise, stockées en
mémoire et utilisées en vue d’augmenter les ventes. Les informations sont
déparées en identité, ventes et équipements, comportements tels que contacts
par téléphone, envois de publipostages, envois de courriers, modes de paiement,
etc. l’analyse de ces
informations guidera les actions de prospection téléphonique ou physique, les
mailings, les relances, la détermination des prospects à abandonner, le choix
du meilleur produit à proposer. Voir aussi Système d’Information Marketing
(SIM).
Base-line
C’est la signature sous la forme d’un
slogan très court qui vient en complément d’un logo, pour donner une unité à
toutes les communications.
Synonyme :
signature.
Above-the-line
Investissement de promotion des ventes
réalisé en dehors des médias principaux (Above the line). Les campagnes
deviennent, de plus en plus, une orchestration d’événements multiples
simultanés, combinant les deux types de communication. Comprend le marketing
direct, la vente par correspondance, la PLV, les coupons et bons à découper,
les gadgets, les concours… (et les relations publiques…)
Benchmarking
Ou étalonnage. C’est une méthode
d’amélioration des performances fondée sur l’identification et la mise en œuvre
des meilleures pratiques observées. Les utilisateurs comparent la performance
de leurs produits ou de leurs processus à celle des concurrents, d’autres
entreprises particulièrement performantes ou d’unités internes à l’intérieur de
l’entreprise.
Bénéfice
consommateur
Avantage d’un produit ou service
procuré au consommateur. Le principal bénéfice consommateur fait l’objet de la
promesse des messages publicitaire (Reason Why des copy strategy).
Bénéfices
publicitaires
Apport d’une campagne de publicité à
l’image de marque, d’une part et aux ventes, d’autres part.
Besoin
Composante de l’état
physiologique d’un organisme en général et d’une être humain en particulier. Le
besoin naît d’un sentiment de manque lié à la condition humaine et apparaît
comme un état de tension généré par la recherche d’un retour à un équilibre
momentanément rompu. Pour survire, l’être humain a besoin, entre autres choses,
de manger, de vêtir, de s’abriter, de se sentir en sécurité, de s’affilier à un
groupe et d’être estimé. De tels besoins ne sont pas créés par la société ni
par le marketing. Ils existent à l’état brut dans la nature humaine. Le
marketing ne crée pas les besoins, ni ne force les gens à acheter des produits
dont
ils n’ont pas besoin. Les besoins préexistent et le marketing va influencer les
désirs. Il suggère au consommateur qu’un modèle particulier de voiture peut
servir à satisfaire un besoin d’estime. Il ne crée pas le besoin mais propose
de la satisfaire.
Voir aussi désir et demande. (KOTLER,
1997)
Biens
ou produits de grande consommation
Produits à rotation rapide qui
nécessitent un inventaire constant pour être réapprovisionné en permanence. Ils
se vendent généralement dans les supermarchés. Synonyme : fast moving consumer
goods. (VAN VRACEM, STAS, 1991).
Biens
ou produits industriels
Produits destinés à être vendus dans le
but de produire d’autres biens ou de procurer des services. Par exemple, les
matières premières, l’outillage et les machines sont considérés
comme
étant des produits industriels. La décision d’achat de produits industriels
dépend, généralement, de plusieurs personnes ou services et sera basée sur des
éléments plus objectifs et plus techniques car ils entrent dans le processus de
production. Il ne faut pas prendre de vue que l’objectif poursuivi lors de
l’achat d’un bien industriel correspondra aux objectifs de l’entreprise. (VAN
VRACEM, STAS, 1991).
Bilan
de campagne
Mesure de l’efficacité d’une campagne
publicitaire sur des items précis établis à partir d’objectifs de
communication.
Blind test
Test en aveugle. Test,
auprès de consommateurs, de plusieurs produits dont on a effacé le nom de
marque. Ce test est, en général, pratiqué parallèlement à un test où les
marques sont visibles, la différence des résultats indiquant l’impact de
l’image de marque.
Blind
banner
Bandeaux ou bannières publicitaires
présentes sur un site Internaute vers un site particulier. On distingue
généralement les blind banner (bannière en aveugle) et les banner (bannière
truquée qui suggère à l’internaute que celui-ci peut agir sur le bandeau).
Blind
Marketing
Ensemble de méthodes qui consistent à
insérer des blind banners. De ce fait, l’Internaute clique pour s’échapper d’un
site sur une bannière caché, c’est –à-dire non perçue en tant que telle.
Brand
stretching
Technique qui consiste à se servir de
la notoriété et de la réputation d’une marque existante pour imposer, sous son
non, un nouveau produit dans un nouveau segment de marché.
Exemple : la barre chocolatée MARS
propose une crème glacée du même nom, McDonald’s vend, aux USA, des McPizzas et
des McNuggets.
Briefing
ou brief
Réunion
d’information et de synchronisation sur un thème particulier et préparatoire à
une opération. Le briefing est notamment la réunion d’information entre
l’annonceur et son agence de publicité, qui doit permettre pour créer la
campagne. Lors du briefing publicitaire, l’annonceur décrira très précisément
les objectifs qu’il fixe à son agence de publicité. Lors du briefing en études de
marché, l’annonceur délimite le champ d’investigation et fixe les objectifs de
l’étude à réaliser. On oppose briefing à debriefing, qui est une réunion
d’échange et d’analyse après une expérience vécue particulière.
Brut
(score)
Lors d’un test de mémorisation,
pourcentage d’individus de la base audience (partie de la population ayant été
presque certainement exposée au message) capables de restituer le nom de la
marque et le type de produit.
Business to business (B to B)
Communications et
publicités aux entreprises et administrations. Par extension, partie de
l’activité des agences de communication réservée à ce secteur.
Business to consumer (B to C)
Communications et
publicités destinées aux consommateurs. Par extension, partie de l’activité des
agences de communication réservée à ce secteur.
Buyer
Personne interrogée qui a déclaré
acheter personnellement au moins 6 fois sur 10, pour le ménage ou, dans
certains cas, pour son utilisation personnelle, le produit sur lequel porte la
question. heavy buyer (PRA) : notion qui regroupe les acheteurs avec les
fréquences d’achat les plus élevées. En général, les heavy buyers représentent
1/3 à 1/2 des buyers mais + de 40% des achats.
Buzz-words
Mots à la mode qui symbolisent dans le
jargon de l’Internet, une stratégie, un concept ou un comportement à la pointe
du projet.
Campagne
Activité publicitaire cohérente centrée
sur un produit, un service, une marque ou autre, s’étalant sur une durée
précise. La campagne est décrite dans le temps à l’aide du Média-Planing. (R.
VAN DICK, 1990)
Canal
de distribution
Réseau de vente du producteur aux
consommateurs. Le canal de distribution peut prendre la forme de grandes
surfaces, chaînes, magasins indépendants ou franchisés, d’un réseau de
grossistes, d’un réseau interne de représentants ou encore de vente par
catalogue. Une stratégie marketing comprend souvent un panachage de plusieurs
canaux de distribution. Voir aussi circuit de distribution.
Cannibalisation
Vente d’un produit, au détriment d’un
autre produit de la gamme d’une entreprise qui couvre le même besoin. La
cannibalisation est particulièrement coûteuse lorsque le nouveau produit est
moins cher ou dégage une marge moindre.
Cannibalisme
Pratique
réalisée dans certains cas de déficience de pièces détachées, consistant à
démonter les machines neuves afin d’en récupérer des éléments pour les utiliser
pour le service après vente. (R. VAN DICK, 1990)
Category
management
Méthode d’organisation marketing
utilisée dans la distribution. Elle vise à optimiser le mix magasin dans une
logique d’achat. Le distributeur réfléchit non plus en marques individuelles
mais par catégories de produit qui constituent un domaine d’activité
stratégique.
Chalandise
(zone de)
Zone d’attraction de la clientèle
autour d’un point de vente. Ce périmètre peut varier de quelques centaines de
mètres (supérette) à plusieurs dizaines de kilomètres (centre commercial).
L’étude des caractéristiques économiques et sociales des habitants de la zone
de la chalandise aura une grande influence sur l’assortiment du magasin.
Chef
de groupe
Brand Manager, personne responsable du
marketing d’un ensemble de produits et dirigeant une équipe de chefs de
produits. (R. VAN DICK, 1990)
Chef
de marché
Responsable dans l’entreprise chargé du
suivi d’un marché en particulier, de l’évolution des ventes, de la définition
des produits, de l’orientation des recherches et du développement, et du
lancement des produits. S’ajoute parfois à ces fonctions la responsabilité de
la publicité et de la promotion. (R. VAN DICK, 1990)
Chef
de produit
Product Manager, responsable dans
l’entreprise des études de marché, de la définition des produits, du suivi de
leur développement, et de leur lancement. Il est rattaché au directeur du
marketing. (R. VAN DICK, 1990)
Chef
de publicité
(Account Executive) : responsable
commercial de l’agence de publicité.
Ciblage
Ensemble des techniques, fondées sur
l’analyse statistique, déterminant qu’elle est la cible des consommateurs d’un
produit. Le ciblage s’appuie sur les études de marché et sur les tests réalisés
en vraie grandeur. Il sera en général obtenu par le croissement de plusieurs
critères relatifs aux consommateurs.
Cible
Ensemble
des personnes que l’on veut influencer par une communication. Au sens restreint,
la cible est l’ensemble des consommateurs susceptibles d’acheter à court terme,
et donc à qui sont destinés les messages publicitaires. Au sens large, et en
fonction des objectifs de communication, la cible peut être un ensemble de
prescripteurs, de distributeurs, les utilisateurs, les décisionnaires, etc. la
cible est définie, en général, par des critères géographiques et
socioprofessionnels ou par des techniques statistiques multicritères
spécifiques.
Circuit
de distribution
Ensemble des intervenants qui prennent
en charge les activités de distribution, c'est-à-dire les activités qui font
passer un produit de son état de production à son état de consommation. (KOTLER
& DUBOIS, 2000). Voir aussi canal de distribution.
Classement
Activité qui consiste à établir un certain ordre entre
divers éléments de la perception.
En
identifiant des ressemblances ou des différences, en évaluant des distances
significatives entre ces signes de ressemblance ou de différence, un sujet
organise le réel qui l’entoure. Un classement peut reposer sur un ou plusieurs
critères. Un classement cardinal distingue les objets, un classement ordinal
les range es un par rapport aux autres. En marketing, les problèmes de
classement se posent vis-à-vis des types de clientèle, du rôle des produits
dans une gamme, de la valeur des canaux de distribution, etc.
Synonyme :
classification
Classes
sociales
Groupes relativement homogènes et
permanents ordonnés les uns par rapport aux autres et dont les membres
partagent le système de valeurs, le mode de vie, les intérêts et le
comportement. (KOTLER & DUBOIS, 2000) Vu leur caractère subjectif, les
classes sociales ont été remplacées par les groupes sociaux.
Co-branding
Technique marketing qui consiste à
associer plusieurs marques de manière à bénéficier de leurs forces respectives,
soit au niveau industriel, soit au niveau marketing ou de la communication.
Exemple :
la Renault Twingo Kenzo – alliance entre le constructeur français et le
styliste japonais, le Yolka, fruit du mariage de Danone et de Motta (Unilever),
la mousse Yoplait au chocolat côté d’Or, le ketchup épicé mis au point par
Heinz et Tabasco, la glace Haagen-Dazs au Baileys, les microprocesseurs Intel
dans les ordinateurs. Parfois le co-branding peut prendre la forme d’une simple
recommandation : Brandt (marque de machine à lever) préconise la poudre à
lessiver Skip.
Coefficient
Beta (b)
Probabilité que, à sa première
exposition à un message un individu mémorise celui-ci. Les études faites par
Armand Morgensztern, chercheur français en études médias et « père »
du b, attribue à celui-ci des
valeurs différentes selon notamment le type de média.
Communication
institutionnelle
Rassemble toutes les actions internes
et externes centrées sur l’institution (entreprise, association, etc.). (KOTLER
& DUBOIS, 2000). Voir aussi corporate.
Competitors
profiling
Technique qui consiste à analyser
systématiquement la concurrence afin de s’inspirer de ses forces et d’exploiter
ses faiblesses pour dégager un avantage concurrentiel.
Composante
affective de l’attitude
Composante de l’attitude comprenant les
sentiments, les émotions et les réactions affectives provoqués par un message
publicitaire (ou tout autre stimulus). (BRISOUX, DARMON, LAROCHE, 1987)
Composante
cognitive de l’attitude
Une des composantes de la structure
d’une attitude dans le modèle psychologique classique qui se réfère aux
croyances développées par un individu relativement à l’objet de l’attitude.
(BRISOUX, DARMON, LAROCHE, 1987)
Composante
conative de l’attitude
Une des composantes de la structure
d’une attitude dans le modèle psychologique classique qui réfère à la tendance
à agir d’un individu face à l’objet de l’attitude. (BRISOUX, DARMON, LAROCHE,
1987)
Comportement
Ensemble des actions et réactions d’un
être. Au sens béhavioriste, la psychologie se définit comme l’étude de ce qui
est observable chez un être (son comportement) sans s’intéresser à la
conscience. (MUCCHILLI, 1975)
Comportement
d’achat
Conditions de réalisation de l’acte
d’achat intimement liées aux éléments qui influencent la préparation et la
décision du sujet responsable. Les facteurs d’influence préparatoire
sont :
·
La charge motivationnelle soulevée par l’évocation de la satisfaction
ou degré d’intérêt ;
·
L’échelle des valeurs propres à la personne ou au groupe auquel elle
appartient, l’image de soi ;
·
Le degré de complexité de la satisfaction recherchée ou multiplicité
des buts ;
·
Le degré d’ambiguïté de cette satisfaction, selon les conflits latents
dans le psychisme ;
·
Le résultat d’expériences passées pour un produit semblable ;
·
Le résultat d’expériences faites sur d’autres catégories de produits
dans le même domaine de satisfaction ;
·
Les pressions et les sollicitations provenant de personnes influentes
dans l’entourage ;
·
La position dans les réseaux de communication, l’exposition aux
informations, la suggestibilité ;
·
La capacité à comprendre les arguments entendus, aspects
cognitifs ;
·
L’aptitude à comparer des avantages et des inconvénients, à catégoriser
et à généraliser.
Les facteurs qui jouent dans la dynamique du passage à
l’acte sont :
·
L’urgence selon laquelle le sujet ressent la solution à un tel
problème, dans la hiérarchie des autres problèmes ;
·
La pression du temps passé à attendre une satisfaction dans une
situation d’incertitude ;
·
La pression du besoin dans l’équilibre psychique ;
·
La mobilité psychique, la curiosité, le goût du changement ;
·
La complexité de la mise en pratique de la réalisation d’un
achat ;
·
Le calcul financier, la notion de risque et de perte en termes
d’argent ;
·
L’évaluation des risques techniques, des compétences négatives et des
inconvénients dus à l’usage du produit une fois acquis.
L’adoption du produit est la phase de stabilisation du
comportement de l’acheteur. Après voir essayé le produit, les satisfactions
obtenues fixent le désir en même temps que l’image de la marque, du service et
de l’objet. L’association positive place le choix dans le contexte des
habitudes du consommateur. Le produit adopté sera racheté quand le désir de
renouvellement surviendra. Si le client renouvelle plusieurs fois son achat, on
pourra parler de fidélité. L’adoption du nouveau produit correspond à une
modification des attitudes.
Synonyme :
purchase behaviour
Comportement
du consommateur
(théorie)
Théorie qui permet de prendre
conscience des moindres facteurs qui influencent le choix des consommateurs.
C’est l’outil indispensable à l’établissement d’une stratégie
marketing
qui, à la fois, réponde aux besoins des consommateurs et permette d’atteindre
les objectifs de l’entreprise. La connaissance des consommateurs atteste
également de toute son utilité dans la segmentation de marché. . (VAN VRACEM,
JESSENS, 1994)
concentration
du marché
Part de marché que se partagent les
quatre plus grande entreprises d’une industrie particulière. (BRISOUX, DARMON,
LAROCHE, 1987)
Concept
Elément central d’une campagne
publicitaire, d’un publipostage, d’une annonce, déterminant toute sa
construction. . (R. VAN DICK, 1990)
Concepteur
Rédacteur
(Copywrite) : créatif responsable
de l’élaboration des concepts et des textes publicitaires.
Concurrence
Situation de référence où
s’exerce une confrontation libre, complète et véridique de tous les agents
économiques au niveau de l’offre comme de la demande de biens et services, de
biens de production et des capitaux. Plusieurs niveaux de concurrence
apparaissent selon le
degré de substitution du produit : d’abord tous ceux qui offrent le
produits ou service semblable, dans la même tranche de prix ; ensuite
toutes les sociétés qui fabriquent le même produit ou encore les firmes qui
satisfont le même besoin ; enfin tous les produits achetés par le
consommateur appartenant au même poste budgétaire du ménage. (BERNARD et COLLI,
1989)
Conditionnement
Mode d’emballage du produit, sa
présentation, son mode de regroupement pour le transport, la manipulation et la
tenue au rayon. Le conditionnement connaît de fortes évolutions, grâce aux
nouvelles matières utilisées et à la créativité de cette industrie. Le
conditionnement contribue à l’ergonomie du produit, à sa promotion, à la
sécurité d’utilisation, à la manutention. Il véhicule l’image de l’entreprise.
Le conditionnement peut
représenter
jusqu’à 30% du prix du produit (pour les industries de luxe en particulier).
Synonyme :
packaging
Consommation
Emploi d’un bien ou d’un service pour
obtenir la satisfaction d’un besoin, impliquant la destruction de ce bien ou de
ce service. Cette destruction peut être plus ou moins longue. Le consommateur
est celui qui utilise le produit, il n’en sera pas forcément l’acheteur ;
par exemple, les membres de la famille qui mangent de la mousse au chocolat.
(BERNARD et COLLI, 1989)
Contact
Exposition au support et non au
message. On parle aussi de contactes utiles touchant la cible visée.
Copy-strategy
Document de travail réalisé par les
responsables de l’annonceur et de l’agence de publicité, synthétisant les axes
de communication de la campane. Tirant profit des résultats des études
marketing, la copie-stratégie comporte : la cible visée, la promesse développée
par les messages (les avantages du produit), Reason Why et son argumentation.
Courbe
d’expérience
Courbe déterminant l’évolution de la
production (prix de revient, prix de vente, prix unitaire) par rapport à
l’expérience cumulée de l’activité (total des quantités produites, des heures
de main-d’œuvre). (R. VAN DICK, 1990)
Coût–contact
au mille
Coût d’une insertion par rapport à
l’audience – permet de ranger les supports selon une échelle d’économie. Il est
important de noter que si l’on peut comparer les coûts au mille des différents
supports d’un même média, on ne peut pas comparer les coûts au mille de deux
médias différents.
Couverture
Ensemble
des personnes ayant été touchées au moins une fois par une campagne
publicitaire. La couverture comprend les sujets appartement à la cible et ceux
qui sont hors cible. Expression en pourcentage du nombre de lecteurs d’un
titre, par rapport à la population considérée.
Créatif
Dans les agences de publicité,
responsable chargé d’imaginer d’un point de vue visuel (Responsable
artistique), soit d’un point de vue textuel (Rédacteur ou Copywriter). (R. VAN
DICK, 1990)
Création
(Direction de la)
Titre donné, dans une agence publicité,
au service chargé de concevoir les messages et éléments de la communication publicitaire,
et d’assurer ou sous-traiter sa réalisation. Le
directeur
de la création est assiste de directeurs artistiques, qui eux-mêmes conduisent
les créatifs. (R. VAN DICK, 1990)
Critère
qualitatif
Critère d’évaluation, souvent
subjectif, basé sur l’observation et la connaissance d’éléments de
valorisation.
Critère
quantitatif
Critère de sélection d’éléments
directement mesurables et identifiables : audience, sélectivité, coût au
mille…
CSP
Catégories socioprofessionnelles
Catégories regroupant les professions
et utilisées pour réaliser des typologies ou des ciblages de consommateurs. Les
principales CSP sont les suivantes : agriculteurs, artisans, professions
libérales, employés, ouvriers, cadres supérieurs, dirigeants.(R. VAN DICK, 1990)
Culture
d’entreprise
Valeurs et coutumes véhiculées au sein
de l’entreprise. Mode de communication interne, mode de gestion des hommes et
de recrutement, ensemble des valeurs, la culture d’entreprise est fondamentale
pour son activité (clients, fournisseurs, banques, candidats à l’embauche) et
reflète souvent la personnalité de ses dirigeants.
Customer
surveys
Enquête de satisfaction menées auprès
des consommateurs afin d’identifier les besoins des clients et les opportunités
pour mieux les servir.
Cycle
de vie
Ensemble des phases de vie d’un
produit, de sa création, sa vie à sa disparition. On distingue notamment :
· Le développement du
produit ;
· L’industrialisation du
produit ;
· Le lancement ;
· La phase de croissance ;
· La multiplication (gamme
multiforme) ;
· La spécialisation créneau plus
limité – vieillissement)
· La disparition (avec remplacement
par des produits de substitution).(R. VAN DICK, 1990)
Data
mining
Analyse de grandes quantités
d’informations stockées dans des mégabases de données (data warehouse). (KOTLER
&DUBOIS, 2000)
Data
warehouse
Système informatique à très forte capacité, permettant
au producteur ou au distributeur de stocker et d’analyser ses statistiques de
vente de manière très fine, afin d’optimiser son marketing-mix.
Demande
Désire d’acheter certains produits,
rendu possible par un pouvoir ou un vouloir d’achat. Le marketing d’efforce
d’agir sur la demande, en rendant le produit, besoin.(KOTLER, 1997)
Demande
de l’entreprise
Part de la demande du marché prise par
l’entreprise. (LAMBIN, 1986)
Demande
dérivé
Demande de toute entreprise sur le plan
logistique afin que celle-ci puisse entamer et assurer sa production de biens
et de services. Le concept de demande dérivée indique que l’acheteur industriel
n’achète pas des biens et des services en raison de ses propres besoins, mais
plutôt pour produire d’autres biens et services pour ses propres clients. Cela signifie que la demande des
acheteurs industriels pour certains produits et services est dérivée de la
demande finale. (DUBOIS et JOLIBERT, 1989)
Demande
globale
Total des ventes réalisées dans un
produit marché (ou une industrie ou un marché), en un lieu et période donnés,
par l’ensemble des marques ou entreprises en concurrence. (LAMBIN, 1986)
Demande
de marché
Expression d’intention d’achat, d’un
bien ou d’un service, de longue ou de courte durée sur une zone géographique
bien déterminée, au cours d’une période donnée dans des conditions
d’environnement données et en réponse à un programme marketing donné. (LAMBIN,
1986)
Démarche
scientifique
Caractéristique de la recherche
marketing, se caractéristique par l’utilisation d’un système expérimental qui
répond aux 3 conditions suivantes :
· Le pouvoir de contrôler les
efforts des variables : la méthodologie utilisée doit permettre d’isoler
les variables à étudier ;
· La possibilité de confirmer les
résultats obtenus : dans les mêmes conditions de recherche, les résultats
obtenus la première fois, doivent être renouvelables les fois suivantes.
(VEDRINE, 1991)
Dénémo
Modèle d’évaluation dynamique des plans
médias, mis au point par Armand Morgensztern. Ce modèle évalue une campagne de
publicité non pas en simples termes de couverture et de fréquence, mais en
termes de « bilan mémoriel » à chaque instant (avant, pendant, ou
après la période d’activité publicitaire).
Desk
research
Recherche documentaire de données
internes ou externes à l’entreprise, par opposition à field research, données
recueillies sur le terrain, au contact des gens en particulier.
Différenciation
Mise en évidence des différences
destinées à distinguer l’offre d’une entreprise de celle de ses concurrents.
(KOTLER & DUBOIS, 2000)
Diffusion
nette
Nombre d’exemplaires réellement
distribués en moyenne sur l’année.
Directeur
Artistique
(Art Director) : créatif
responsable de l’élaboration des concepts et des visuels publicitaires.
Discussion
de groupe
Discussion qui a pour objet de mettre
en évidence, de faire exprimer ce qu’éprouvent, en commun, les participants,
sur un problème donné ou encore de déterminer l’image de marque que certains
produits ont auprès du grand public, d’évaluer les différentes perceptions du
consommateur d’une marque à l’autre, d’obtenir une réaction positive ou
négative vis-à-vis d’un concept ou d’un produit bien déterminé. La discussion
de groupe s’article autour d’un guide qui est utilisé afin d’encadrer le
déroulement de la discussion. Le groupe doit donc trouver en lui-même les idées
et les avis développés avec un minimum de sollicitations et de contraintes
venant de l’extérieur. Chaque groupe est constitué d’un animateur, parfois d’un
observateur et de 8 à 10 participants.
Distribution
Ensemble des techniques de transport,
assortiment, stockage, présentation, promotion et vente des produits aux
consommateurs. En Belgique, dans la distribution , on distingue le F1 (grand
distribution), le F2, moyenne distribution (GB Partners, AD Delhaize), le F3
(petits indépendants), la vente à domicile ou par correspondance
Voir
aussi casting
Duplication
Audience commune à plusieurs supports.
ECR
(Efficience
consumer response : réponse efficace du consommateur) Réflexion globale
sur les moyens d’améliorer l’efficacité de la promotion, de la logistique, des
lancements de produits nouveaux et l’assortiment des points de vente. (KOTLER
& DUBOIS, 2000)
E-commerce
Contrairement à la « vielle
économie » ou « économie traditionnelle », la nouvelle économie
ou digital économy consiste à créer de la valeur au départ d’Internet qui en
est à la fois le vecteur et le symbole. Dans l’économie électronique, on parle
d’e-business, e-firms, e-communities. Synonyme de commerce par Internet. Voir
aussi commerce électronique.
Echange
Espace publicitaire qui a fait l’objet
d’un accord autre que financier et dont la forme est assimilable à une annonce
publicitaire normale.
Echantillon
Article gratuit, de petite taille,
destiné à être testé ou goûté par le consommateur. Sans valeur marchande, il
est distribué ou introduit en prime dans un autre article.
En statistique, l’échantillon est la
portion de la population-mère auprès de laquelle une enquête sera réalisée. La
taille de l’échantillon et sa représentativité détermineront la précision des
résultats étendus à l’ensemble de la population-mère. L’échantillon peut être
tiré au sort tiré au sort à l’intérieur de sous-groupes déterminés dont on veut
respecter des proportions identiques à la population-mère (Exemple : je
m’impose 80% de moins de 20 ans car j’ai déterminé cette proportion dans la
population-mère). Avec 95% de chance de ne pas se tromper, l’intervalle de
confiance d’un résultat observé p auprès d’un échantillon de taille n
sera :
En étude de marché, un échantillon
correspond à une partie représentative de la population qu’on veut interroger.
(MUCCHELLI, 1975)
Ecrémage
Politique de prix, lors du lancement
d’un produit, afin de vendre avec une forte marge aux consommateurs les plus
motivés. S’oppose à la pénétration, politique de prix bas visant à gagner une
part de marché significative. (R. VAN DICK, 1990)
Elasticité
du marché
Exprime la variation du volume de vente
par rapport à la variation des prix. C’est le coefficient de pente en un point
donné de la courbe volume vendu/prix de vente.
Exemple :
si au prix de 150 DH il se vend un volume v de 11 000 unités et prix de 155 DH
il se vend 10 800 unités, l’élasticité e, au point 150, sera égale à e(150) =
(-200/11000) x (150/5). Ici, l’élasticité est négative puisque les ventes
baissent si le prix monte. C’est le cas le plus général. Ce phénomène peut
cependant être inversé dans certains cas : le cas de pénurie (si les prix
augmentent, c’est qu’on va manquer et il faut donc acheter) ou le cas de
certains produits de luxe (un parfum à ce prix trop faible ne peut pas être de
bonne qualité). Autre exemple : les BMW : si on baisse le prix, on va
ralentir les ventes (idem Porsche qui a dû supprimer la 924 trop bon marché).
Groupe
de questions posées par une société de sondages à un échantillon permanent
d’acheteurs. Ces questions précises ont été commandées par les sociétés
clientes de la société de sondages. L’ensemble des questions ainsi rassemblées
constitue le Bus de questions. Ce moyen permet d’obtenir des résultats
statistiques précis et rapides, mais le nombre de question (pour chaque société
cliente) reste limité.
Enquête
postal
Questionnaire envoyé par la poste à
l’échantillon du sondage. Le questionnaire doit être conçu de façon
particulièrement simple et doit impérativement contenir l’enveloppe réponse,
afin d’exiger le minimum d’efforts aux enquêtes. Le taux de retour varie entre
3 et 10% pour les enquêtes auprès d’échantillons non prévus, et peut atteindre
90% pour les panels.
Enquête
téléphonique
L’enquête téléphonique est le moyen le
plus rapide pour un sondage. Elle peut prendre la forme d’un questionnaire très
long (plus d’une heure), préparé dans ce cas par un rendez-vous téléphonique,
ou bien d’une étude flash comportant quelques questions et qui devra être
réalisée en 24 heures. Pour obtenir un certain nombre d’appels utiles
(aboutissant à la bonne personne), il faut prévoir de composer le double
d’appels.
Etude
de marché
Recherche concernant ce que les gens
(consommateurs, clients…) désirent ou veulent acheter, ce qui leur plaît, ce
dont ils ont besoin pour vivre ou envie. Elle mesure les besoins des
consommateurs et permet d’évaluer préalablement à la mise en vente, les
possibilités d’achat d’un produit par un consommateur. En publicité, elle
permet de mesurer l’efficacité de la communication et de faire fabriquer le
produit qui
pourra se vendre. (MUCCHIELLI, 175)
C’est le rassemblement,
l’enregistrement, l’analyse et le compte rendu de tous les faits relatifs à la
vente des biens et services du producteur au consommateur. Elle est
généralement mais non nécessairement basée sur la théorie statistique de la
probabilité et utilise toujours – en théorie – la méthode scientifique.
des
éventuels prospects intéressés, avec présentation des résultats des enquêtes
précédentes. (R. VAN DICK, 1990)
Etude
qualitative
Etude souvent réalisée comme phase
préalable d’une étude quantitative et qui vise à comprendre le comportement,
les habitudes ou les attitudes d’un consommateur ou l’univers imaginaire autour
d’un produit. Elle permet de répondre à la question Pourquoi ?. Son
caractère évidemment subjectif exige très souvent une validation quantitative.
Les principales études qualitatives concernent les motivations, perceptions,
opinions, attitudes et préférences des consommateurs.
Etude
quantitative
Etude aboutissant à des mesures
chiffrées et à des nombres. Elle permet de répondre aux questions :
Combien ? Comment ?. elle
permet de vérifier les objectifs et hypothèses énoncés lors d’une phase
qualitative. Les informations quantitatives obtenues se rapportent à
l’observation du comportement. Ces études quantifient des informations telles
que la notoriété des produits et des marques, l’utilisation on non des produits
et services offerts, la fréquentation ou non des points de vente, les quantités
achetées et les fréquences d’achat ; etc. par rapport aux études
qualitatives, ces études sont plus objectivantes et contrôlables mais elles
peuvent ne saisir que superficiellement l’attitude du consommateur face au produit.
Elles sont souvent précédées par une phase qualitative.
Expérimentation
Contrairement à la recherche par
questionnaire, l’expérimentation consiste à observer le comportement d’un
individu après manipulation d’une variable (du marketing-mix par exemple).
(VEDRINE, 1991)
Force
Terme utilisé en affichage et désignant
le nombre de contacts par jour et par habitant dans une ville donnée.
Fréquence
Mot pouvant prêter à confusion, soit un
nombre de parutions de l’annonce (fréquence de parution), soit un nombre de
contacts par personne touchée.
Gamme
Ensemble des produits liés entre eux du
fait qu’ils fonctionnent de la même manière, s’adressent aux mêmes clients, ou
sont vendus dans les mêmes types de points de vente ou zones de prix. (KOTLER
& DUBOIS, 2000)
Gestion
de la qualité totale
Voir total quality management (TQM).
G.R.P.
(Gross Rating Point) : mesure le
poids publicitaire d’une campagne : nombre d’expositions à un choix de
supports différents, calculé par rapport à 100 individus de la cible.
|
La capacité d’opérationnaliser les variables
étudiées : elles doivent être mesurables ;
marketing A----C
Reviewed by IstaOfppt
on
01:48
Rating:
[Download] $12,234 in 2 months BETTING Program?
RépondreSupprimerLet me get it right.
I dont care about sports. Shame on me but I dont even know the soccer rules. Never cared less.
I tried everything from FOREX & stocks to internet systems and affiliate products.. I even made some money but then lost it all when the stock market went south.
I think I finally found it. Grab It TODAY!!